Pour certains, la démission résonne comme une évidence, un cri du cœur, un geste salutaire sans lequel rien n’est plus possible. Pour d’autres, l’envie de partir se profile en douceur et c’est à ce moment-là que se posent les vraies questions et plus particulièrement LA question qui tue : qu’est-ce que je veux vraiment ? (en gros, quel est mon ikigaï ?).
Dans cet article, nous vous partageons l’expérience d’Emilie qui a trouvé ce qu’elle veut vraiment et, du coup, a changé de job, en faisant, si l’on ose la métaphore (mais oui, on ose) … le grand écart !
Pétillante, pleine d’idées, le sourire généreux, Emilie est une nana comme beaucoup d’autres : un job et une vie sympa, mais un goût de trop peu. Ce sentiment bizarre d’avoir fait le tour de son poste, de ne plus être à sa place mais sans pouvoir identifier ce qui coince.
Après plusieurs mois de remises en question, d’aller-retours entre l’envie de rester et l’envie de tout plaquer, Emilie fait un choix : elle quitte son emploi dans la communication pour entamer une nouvelle aventure chez un autre employeur, dans un nouveau métier qui la motive à 200% !
Et vous savez quoi ? Dès qu’elle a fait ce choix, son mal-être a cédé la place à un grand soulagement ! Non, ce n’était pas simple de se décider. Vous quitteriez facilement le confort d’une situation connue où vous avez largement fait vos preuves ?
En coaching, on parle de « zone de confort ». Si l’on en sort un peu, on est dans ce que l’on appelle une zone d’apprentissage. Si l’on va trop loin et qu’on s’éloigne vraiment beaucoup de la zone de confort, on peut entrer dans une zone de stress, ce qui n’est pas l’objectif. Par contre, cela fait souvent beaucoup de bien de faire un pas, même un minuscule petit pas hors de sa zone de confort, c’est là qu’opère la magie ! C’est la zone où l’on apprend en douceur, où on se dépasse juste ce qu’il faut pour que la vie soit plus belle après. Et c’est exactement ce qu’a fait Emilie en quittant son emploi dans la communication pour voler de ses propres ailes, vers un nouveau défi professionnel en tant que leader sport yoga (oui, elle avait découvert que le yoga avait une place importante dans son ikigaï).
Pour y parvenir sereinement, Emilie s’est d’abord posé des questions essentielles sur ses motivations, ses envies, ses talents,…
Sur sa route, en vrac, on retrouve :
– quelques bonnes rencontres au bon moment (rien n’arrive par hasard…)
– quelques séances de coaching en présence du cheval (oui, Emilie est venue chez nous)
– des livres de développement personnel, dont « comment trouver son ikigaï » (que l’on vous recommande chaudement)
– du yoga
– du reiki
Et vous, de quoi avez-vous besoin sur votre route pour vous aider à prendre les bonnes décisions ?